Besoin d'une pompe de vidange

Ai-je besoin d’une pompe de vidange sur mon lave-vaisselle professionnel ?

Ai-je besoin d’une pompe de vidange sur mon lave-vaisselle professionnel ?

Vous avez besoin d’un nouveau lave-verres ou lave-vaisselle pour votre cuisine professionnelle ? On vous propose des machines avec, ou sans pompe de vidange, mais que choisir ? Vesto vous aide à y voir plus clair !

Une pompe de vidange, c’est quoi ?

Il faut savoir que tous les lave-verres ou lave-vaisselles professionnels ne sont pas forcément équipés d’une pompe de vidange de série. Mais pourquoi ?

La pompe de vidange sert, comme son nom l’indique, à vidanger l’eau contenue dans la machine à chaque cycle de lavage et en fin de service. Lors de la phase de rinçage du cycle de lavage, votre lave-vaisselle ou lave-verres injecte de l’eau propre sur la vaisselle. Ce surplus d’eau doit ensuite être évacué afin de commencer un nouveau cycle, ou avant d’éteindre l’appareil pour la nuit.

Est-ce que mon lave-vaisselle a besoin d’une pompe de vidange ?

Lorsque votre appareil est positionné plus haut que le siphon d’évacuation ( dans le mur ou au sol ), l’eau s’évacue naturellement grâce à la gravité, elle se déverse.

A l’inverse, si votre appareil est positionné plus bas que le siphon d’évacuation, l’eau ne pourra pas se déverser naturellement. Pour être exact, c’est lorsque le fond de la cuve de l’appareil est positionné plus bas que le siphon d’évacuation que l’eau ne pourra pas se déverser naturellement. En général, pour des lave-verres et lave-vaisselle frontaux posés au sol, on considère qu’un siphon situé à plus de 7cm de sol empêche une évacuation d’eau naturelle. Dans ces cas, il faut que l’eau soit aspirée par une pompe de vidange pour être évacuée dans le siphon.

Pour résumer

Si votre appareil est posé sur un comptoir ou une estrade et que le siphon d’évacuation se trouve plus bas que l’appareil, vous n’avez pas besoin de pompe de vidange !

Si votre appareil est posé sur le sol avec un siphon à plus de 7 cm du sol ou que le siphon est situé au moins 7 cm plus haut que le bas de votre appareil, vous avez besoin d’une pompe de vidange !

Vous ne savez pas quel type de lave-vaisselle ou lave-verres choisir ? Venez consulter notre article sur la question !

Pour s’équiper moins cher et de façon plus écologique, vous pouvez choisir d’acheter du matériel reconditionné (de seconde main, mais réparé, nettoyé, garanti 6 mois, et 100% fonctionnel !). Vesto propose toutes sortes de lave-vaisselle et lave-verres (avec ou sans pompe de vidange). Dans le doute, n’hésitez pas à nous contacter !

La fin de vie du matériel professionnel

Fin de vie du matériel, les fabricants s’engagent !

Fin de vie du matériel, les fabricants s’engagent !

102 460 Tonnes, c’est le volume de déchets d’équipements électriques et électroniques professionnels (DEEE, D3E) produit chaque année en France ! 

C’est le contenu de 2300 semi-remorques soit près de 38km de camions !

Pour réduire ce volume colossal, il faut que tous les acteurs de la chaîne s’allient : les utilisateurs, les vendeurs, les installateurs et mainteneurs, les acteurs de la fin de vie du matériel et bien entendu les fabricants.

D’où viennent ces déchets?

Avant de devenir déchets, ces machines servaient tous les jours des artisans, des restaurateurs, des entreprises qui un jour ont décidé de les mettre au rebut. Pourquoi ? Bien souvent par ce qu’elles ne fonctionnaient tout simplement plus et c’est là que les fabricants entrent en jeu ! 

En effet, chaque machine lorsqu’elle est mise sur le marché a une espérance de vie qui dépend de la qualité de ses composants, de sa facilité d’entretien et aussi de sa facilité de réparation. 

La durée de vie des machines est directement liée à la quantité de déchets produits, l’allonger est donc la meilleure manière de réduire le tonnage de DEEE.

Eco-conception VS Obsolescence programmée : la lutte fait rage 

D’après l’Ademe, “l’éco-conception est un terme désignant la volonté de concevoir des produits respectant les principes du développement durable et de l’environnement, en recourant aussi peu que possible aux ressources non renouvelable associées à une valorisation des déchets qui favorise le réemploi, la réparation et le recyclage dans un contexte qui évoluerait alors vers une économie circulaire.” 

Il s’agit de prendre en compte, avant même la fabrication du produit, le fait qu’il devra au cours de sa vie être réparé, reconditionné puis recyclé. 

A l’exact opposé, le concept d’obsolescence programmée consiste à limiter volontairement la durée de vie d’un produit pour en augmenter le taux de renouvellement et donc in fine le nombre de produits vendus. 

Ces deux logiques s’affrontent depuis bien longtemps entre les partisans du matériel à bas coût et faible espérance de vie et les tenants d’une conception robuste qui rendent les pièces détachées accessibles. 

Mais la loi a tranché, dans le cadre de la loi anti gaspi pour l’économie circulaire (Lagec) les fabricants qui intègrent l’éco-conception seront maintenant récompensé alors que ceux qui choisissent l’obsolescence programmée seront pénalisés.

Un exemple ? La non mise à disposition de la documentation technique des machines aux réparateurs entraîne depuis 2010 une surtaxe pour les fabricants de matériel ménager. Pour les fabricants de matériel professionnel, ce sera la non mise à disposition de pièces détachées qui entraînera une surtaxe ! 

Les autres moyens pour allonger l’espérance de vie

Pour allonger l’espérance de vie du matériel, un autre moyen est de lui donner une seconde vie une fois sa première vie terminée. On reprend alors la machine avant qu’elle ne deviennent un déchet pour la remettre en état et lui donner une seconde jeunesse, c’est le concept du reconditionnement hérité de la téléphonie, et qui fait aujourd’hui ses preuves dans le matériel professionnel avec Vesto

Le matériel est alors amené dans des usines de reconditionnement dans lesquelles on lui donne une seconde jeunesse. 

Meiko lave-verre occasion reconditionné

Une fois de plus, les fabricants peuvent s’engager pour allonger l’espérance de vie du matériel à ce niveau là, c’est par exemple ce qu’a fait le fabricant de matériel de laverie Meiko en s’engageant aux côtés de Vesto.

Du matériel qui ne pouvait plus être vendu par la marque pour différentes raisons (impact logistique, matériel de démonstration ou fin de série) est maintenant remis en circulation ! A terme, ce fabricant compte aller bien plus loin dans le reconditionnement en formant par exemple des reconditionneurs pour leur permettre d’augmenter leur taux de succès ou encore en leur fournissant les pièces nécessaires.

Alors victoire de l’eco-conception ?  Pas encore même si l’engagement de certains fabricants montre une voie à suivre !

Comment financer l’ouverture d’un restaurant ?

Comment financer l’ouverture d’un restaurant ? 

Ouvrir un restaurant est souvent le rêve d’une vie, mais comment se lancer dans cette aventure lorsque l’on ne bénéficie pas de ressources financières personnelles suffisantes ? Faut il abandonner son rêve pour autant ? 

Bien entendu, un minimum d’apport personnel ou de Love Money (famille et amis) constituent un premier palier qui sera déterminant pour la suite car il détermine votre niveau de fonds propre et prouve votre engagement à ceux qui vous soutiendront par la suite.

Par la suite, il faudra présenter le dossier à la banque, ou plutôt s’armer de courage et entamer la tournées des établissements bancaires à la recherche du meilleur prêts pour compléter cet apport.

Mais avant (ou en parallèle), une autre source de financement est possible : Le financement participatif. 

Le financement participatif

Dans ce cas là, on recourt directement à l’épargne des citoyens (de ses futurs client, voisins, fournisseurs ou encore amis) pour se faire aider dans l’ouverture du restaurant !

Il y a trois grandes manières d’y recourir sans pour autant ouvrir son capital :

  • Le don sans contrepartie : cet argent vous est simplement offert par des particuliers pour vous aider à développer votre projet. Malheureusement cette modalité est bien souvent limité à quelques milliers d’euros et les donateurs seront souvent à compter parmi vos proches.

  • Le don avec contrepartie aussi appelé prévente : dans le cadre de don avec contrepartie, les particuliers vous donne de l’argent en échange de cadeaux que vous vous engagez à leur donner une fois le restaurant ouvert. Il s’agit non seulement d’un très bon moyen de financement mais aussi d’une belle manière de se faire connaître et d’acquérir de premiers clients ! On peut avec ce type de financement trouver de quelques milliers à quelques dizaines de milliers d’euros ! Un beau complément pour un apport un peu léger. 
  • Pour des projets plus conséquents, il est possible de recourir au financement sous forme d’obligation dans lesquels les particuliers vous prêtent de l’argent que vous leur rendrez avec des intérêts. Ce financement ressemble en tous points à un emprunt bancaire sauf que ce sont vos potentiels clients qui vous prêtent de quoi ouvrir et qui seront d’autant plus à même de venir souvent chez vous ! 

Pour organiser votre campagne, de nombreuses plateformes existent avec des tarifs et des audiences fortement variables, nous allons ici vous en présenter quelques unes :

Miimosa, la plus spécialisée : Spécialement dédiée aux projets d’agriculture ou d’alimentation, Miimosa s’impose comme un acteur incontournable lorsque l’on veut financer un projet de restaurant. Permettant les 4 types de financement, la plateforme a même mis en place le mouvement des cuistots engagés avec le chef Yves Camdeborde pour aider les porteurs de projets de restauration durable en ce moment difficile.

Ulule : la plus grand public : Cette plateforme rassemble des projets allant de la fabrication de chaussettes made in france à la prévente d’une bande dessinée en passant bien entendu par le financement de nombreux restaurants.
Son atout indéniable? Une large communauté d’habitués en recherche de nouveaux projets à soutenir.

Tudigo : pour les collectes importantes : Avec une sélection poussée des projets et des montants pouvant monter jusqu’à 8 millions d’euros, Tudigo est spécialisé sur les collectes relativement importantes. Cette plateforme permet notamment de réaliser des levées de fonds en capital dans lesquelles les investisseurs prennent des parts de votre projet, un outil idéal pour les grosses collectes.

Zest : le challenger : Créée en 2016 à l’initiative de la banque coopérative NEF, Zest est une plateforme entièrement dédiée au projets engagés écologiquement.
Son atout ? Elle permet aux porteurs de projets de récupérer les sommes investies dès le premier euro, alors que la plupart des autres plateformes nécessitent d’atteindre un certain palier. 

Quel que soit votre choix, il est impératif d’utiliser au mieux l’argent que vous parviendrez à récolter de cette manière, c’est pour cette raison que Vesto vous propose du matériel reconditionné par des professionnels à des tarifs défiants toute concurrence.

Quel matériel de ventilation utiliser dans mon restaurant

Quel matériel peut on utiliser dans un local sans extraction ?

Quel matériel peut on utiliser dans un local sans extraction ? 

Pour un entrepreneur qui souhaite se lancer en restauration, le choix du local est souvent le point clé du projet ! Et parfois, un détail coince : le local trouvé est bien situé, charmant, dans vos tarifs … Bref, tout est au mieux jusqu’au moment d’explorer les plans et de se rendre compte de l’absence d’extraction d’air.

Faut-il pour autant laisser passer ce local qui vous plaît tant ? Pas forcément ! En effet, dans certains cas, il est possible de pratiquer une petite restauration dans un local qui ne comporte pas d’extraction d’air, à condition de respecter certaines contraintes.

Pour y voir plus clair, Vesto fait le point sur les obligations et possibilités en matière de ventilation. 

Avant toute chose, il est bon de se demander à quoi sert l’aération et quelles sont les obligations légales. Le recyclage de l’air doit se faire pour trois raisons distinctes:

  • Une obligation de sécurité liée aux risques d’incendie ainsi qu’à l’émission de chaleur et de polluants lors de la cuisson
  • Une obligation de renouvellement de l’air 
  • Une logique de diminution des nuisances liées aux odeurs autant pour les clients que pour le voisinage. 

Chacun de ces aspects est régi par une législation bien particulière et les obligations qui en découlent sont donc différentes.

Impératif de sécurité

Entre les vapeurs de cuissons, la chaleur émise, les polluants qui viennent des graisses brûlées et les risques de fumées d’incendie, l’air d’une cuisine est parfois dangereux pour ses occupants. 

C’est pour cette raison qu’il est impératif d’avoir un circuit d’extraction de l’air pour toutes les grandes cuisines dans lesquelles l’air est particulièrement vicié.
Cependant, n’est considérée comme grande cuisine qu’une cuisine dont la puissance du matériel de chauffe dépasse les 20KW. En dessous de ce seuil les risques de contamination sont bien plus faibles.
Certes cela peut paraître limitant, mais on peut tout à fait aménager une cuisine envoyant de 20 à 80 couverts dans le respect de cette limite. 

Ainsi, il est possible de répondre à ce premier impératif de sécurité sans pour autant avoir d’extraction à condition de respecter une puissance de chauffe inférieur à 20KW.

Obligation de renouvellement de l’air

Pour protéger les travailleurs et les visiteurs d’un lieu ouvert au public, il faut absolument renouveler l’air ambiant.
Attention on ne parle pas ici simplement d’extraction de l’air mais de ventilation, remplacer de l’air vicié par de l’air pur.

Cette ventilation peut se faire soit par voie naturelle (par les fenêtres et ouvrants), soit par voie mécanique. Dans ce cas il s’agit d’installer une VMC (Ventilation mécanique contrôlée) de dimension suffisante pour apporter suffisamment d’air aux clients et employés (25m3/heure/couvert pour les clients et 30m3/heure/employé).

En résumé, la ventilation est obligatoire quel que soit le local que vous exploitez, mais elle ne nécessite pas forcément d’extraction, une simple VMC suffit amplement sur ce point. 

Eviter les nuisances olfactives

Il ne s’agit plus ici d’une obligation légale mais de bon sens. En effet, quoi de pire que d’avoir la salle polluée par des odeurs de graillon qui viendront gêner vos clients mais aussi vos voisins ?

Une situation efficace dans ce cas là est l’utilisation d’une hotte à condensation ou hotte à recyclage qui aspire l’air au dessus d’un appareil de cuisson, le filtre et le rejette dans la pièce sans odeur. Ce type d’appareil n’a pas besoin d’être relié à une gaine d’extraction mais permet pour autant de désodoriser l’air. 

Pour résumer :

La présence d’une extraction d’air dans un local est un gros plus mais s’il n’y en a pas ne fuyez pas pour autant !
Il est tout à fait possible de pratiquer une restauration du quotidien à moyenne échelle sans extraction en respectant un puissance inférieure à 20kw pour les éléments de chauffe, une ventilation suffisante pour les clients et les employés et en s’équipant de hottes à condensation pour éviter les odeurs. 

Avec ou sans extraction, une fois votre local trouvé ne vous reste plus qu’à l’aménager, c’est là que Vesto entre en scène en vous accompagnant dans vos projets pour vous fournir le meilleur matériel reconditionné pour répondre aux normes les plus strictes tout en s’engageant pour une cuisine plus durable.